Qu'est ce qu'Aljazeera?
Aljazeera est aux médias ce qu'est Google aux entreprises technologiques : Une machine à rafler les contrats publicitaires sans éthique si ce n'est celle du gain et de l'argent.
Imaginons, une seule seconde, Aljazeera prendre parti de l'objectivité en transmettant, ne serait ce qu'avec neutralité les émeutes au Bahreïn, en Arabie Saoudite ou en Jordanie, sans avoir à y ajouter son petit grain de sel avec des débats télévisés. Le résultat sera la colère des dieux du pétroles, les sociétés les plus consommatrices du monde arabe, voire même du monde ! En termes plus compréhensibles pour le simple citoyen : La perte de millions ou de milliards de dollars de contrats publicitaires et donc des taux d'audience qui ne rapportent pas grand chose pour pouvoir se payer une plateforme, qu'on doit reconnaitre incroyable, médiatique.
J'ai toujours cru et je continue à affirmer, même, qu'Aljazeera est une source d'inspiration pour toute dictature intelligente et que Abd Elwahheb Abdallah aurait du s'en inspirer ou s'en aider, au lieu d'aller se payer des articles que personne ne lira, dans des journaux occidentaux au bord de la faillite.
Aujourd'hui, avec des journalistes qui se découvrent une conscience, après Abd Aziz Jridi chez nous, dépassés par ces révoltes populaires "apolitisées", Aljazeera se fait discréditer par les mêmes têtes qui ont fait sa gloire et qui en ont fait une image de marque assez bien commercialisée. Aljazeera est victime de son propre succès, la chaine révolutionnaire, anti conformiste et militante n'a pas su "afficher" autant de militantisme, cette fois ci. Après tout, même les machines de propagande nazie ou américaine y sont passées : un petit faux pas et on quitte le podium !
Aljazeera est en train de prendre l'eau, le réchauffement climatique ou l'embrasement de la situation au proche et moyen orient qui a fait fondre des régimes ayant gelé, pendant des décennies, toute possible transition démocratique, en sont la principale cause. Je ne sais pas si le pétrole coulera assez pour financer des digues assez solides qu'efficaces pour retarder son enlisement ou empêcher qu'elle ne coule. Chose est sure, les années des vaches grasses sont révolues et celles des vaches maigres viennent, tout juste, de commencer.
Aljazeera est aux médias ce qu'est Google aux entreprises technologiques : Une machine à rafler les contrats publicitaires sans éthique si ce n'est celle du gain et de l'argent.
Imaginons, une seule seconde, Aljazeera prendre parti de l'objectivité en transmettant, ne serait ce qu'avec neutralité les émeutes au Bahreïn, en Arabie Saoudite ou en Jordanie, sans avoir à y ajouter son petit grain de sel avec des débats télévisés. Le résultat sera la colère des dieux du pétroles, les sociétés les plus consommatrices du monde arabe, voire même du monde ! En termes plus compréhensibles pour le simple citoyen : La perte de millions ou de milliards de dollars de contrats publicitaires et donc des taux d'audience qui ne rapportent pas grand chose pour pouvoir se payer une plateforme, qu'on doit reconnaitre incroyable, médiatique.
J'ai toujours cru et je continue à affirmer, même, qu'Aljazeera est une source d'inspiration pour toute dictature intelligente et que Abd Elwahheb Abdallah aurait du s'en inspirer ou s'en aider, au lieu d'aller se payer des articles que personne ne lira, dans des journaux occidentaux au bord de la faillite.
Aujourd'hui, avec des journalistes qui se découvrent une conscience, après Abd Aziz Jridi chez nous, dépassés par ces révoltes populaires "apolitisées", Aljazeera se fait discréditer par les mêmes têtes qui ont fait sa gloire et qui en ont fait une image de marque assez bien commercialisée. Aljazeera est victime de son propre succès, la chaine révolutionnaire, anti conformiste et militante n'a pas su "afficher" autant de militantisme, cette fois ci. Après tout, même les machines de propagande nazie ou américaine y sont passées : un petit faux pas et on quitte le podium !
Aljazeera est en train de prendre l'eau, le réchauffement climatique ou l'embrasement de la situation au proche et moyen orient qui a fait fondre des régimes ayant gelé, pendant des décennies, toute possible transition démocratique, en sont la principale cause. Je ne sais pas si le pétrole coulera assez pour financer des digues assez solides qu'efficaces pour retarder son enlisement ou empêcher qu'elle ne coule. Chose est sure, les années des vaches grasses sont révolues et celles des vaches maigres viennent, tout juste, de commencer.
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