Le Parti Tunisien pour une Politique Électronique (PTPE) est un parti politique Tunisien que j’espère naitra à la suite de la révolution du 14 Janvier 2011, essentiellement pour rassembler les acteurs principaux de cette révolution, à savoir les jeunes, pour les unifier, en se basant sur les moyens de communication modernes ayant permis d’organiser cette révolution, à fin de prolonger leur intérêt à la politique et leur permettre de s’imposer dans l’élaboration et la réalisation des projets de réforme et de modernisation de la Tunisie.
Le paysage politique Tunisien est dominé par des mouvements « vieux » par l’apparition et la direction. Un fait que personne n’en assume la responsabilité si ce n’est d'avoir marginalisé la jeunesse et l'avoir abrutit via des programmes éducatifs et une vie associative qui diminuent à la fois leur attrait au militantisme politique et leur aptitude à y apporter du leur. Une stratégie qui a aidé à l’instauration d’une dictature sans vrai opposition, vu que l’âge et les responsabilités des dirigeants les contraignent à la passivité pour se prémunir contre les représailles qui pourraient affecter proches et leurs biens, même. Comme nous l’a prouvé la révolution du 14 Janvier, la vraie opposition, prête à défendre par sa vie, même, les valeurs de la démocratie, la liberté et l’égalité sociale, est celle des jeunes qui ‘ont « rien à perdre » et « tout à gagner » de cet engagement. C’est dans l’esprit de continuité avec ce mouvement que j’ai eu l’idée de prendre cette initiative ; Un parti politique pour les jeunes (de 7 à 77 ans comme le dit la chanson).
Pour justifier et expliquer ce que j’entends dire par « politique électronique » je voudrais avant tout rappeler le rôle important qu’ont joué les moyens de communication modernes, notamment les réseaux sociaux et les blogs, dans l’organisation, planification et surtout le suivit du mouvement citoyen qui a renversé la dictature et l’état policier de Ben Ali, avec des moyens que je qualifierais, honorablement, de dérisoires. Même après le renversement de l’ancien régime, le mouvement s’est poursuivit et le peuple Tunisien a pris son rôle de « superviseur » de la transition politique au sérieux et on a assisté à la naissance d’une nouvelle mode et forme de « journalisme citoyen » qui devrait être encouragée et encadrée voire même « officialiser » comme fit Slim Amemou avec des sessions ministérielles « Twittées » en temps réel. Comme ça, la démocratie prendra un sens beaucoup plus large que celui des urnes et des débats parlementaires. En outre, ceci garantira plus de transparence et augmentera la confiance de chaque citoyen en son gouvernement, démocratiquement élu.
Quelle orientation pour ce parti ? Je me suis posé cette question et en essayant de caser l’ensemble des idées qui me parcourent la tête et autour des quelles je voudrais bâtir ce projet, j’ai réalisé que ceci défie les règles « classique » de classification sur l’échiquier politique. En effet, je pourrais dire que les principes de base de ce mouvement, que j’exposerais par la suite, sont inspirés par un cocktail d’idéologies « traditionnellement » incompatibles et que j’espère avoir réussit. Pour moi, et je ne suis pas le seul à le penser, une révolution sans révolte idéologique aura, toujours, le goût d’inachevé et c’est pour ça que j’œuvrerais. Comme Carthage avait offert à l’humanité la première constitution, dans le passé, le quadrant politique et le diagramme de Nolan devraient être renversés par cette même Carthage, dans le présent.
Je vais exposer les lignes directrices de ce mouvement et que je souhaiterais peaufiner, par la suite, avec l’aide de ceux qui se sentiront intéressés par l’idée :
les idées présentées, dessus, représentent les grandes lignes directrices du parti que je voudrais créer. Je ne pouvais aborder tous les secteurs, car même assez cultivé, je ne peux détenir le savoir absolu et c’est pour ça que j’aimerais réunir à mes côtés d’autres jeunes gents avec des idées aussi révoltées pour créer ce mouvement. Donc si le projet vous parle, n’hésitez pas à me contacter ou à me laisser vos coordonnées pour entamer les démarches administratives.
J'ai créé une page Facebook: Voir ici
Le paysage politique Tunisien est dominé par des mouvements « vieux » par l’apparition et la direction. Un fait que personne n’en assume la responsabilité si ce n’est d'avoir marginalisé la jeunesse et l'avoir abrutit via des programmes éducatifs et une vie associative qui diminuent à la fois leur attrait au militantisme politique et leur aptitude à y apporter du leur. Une stratégie qui a aidé à l’instauration d’une dictature sans vrai opposition, vu que l’âge et les responsabilités des dirigeants les contraignent à la passivité pour se prémunir contre les représailles qui pourraient affecter proches et leurs biens, même. Comme nous l’a prouvé la révolution du 14 Janvier, la vraie opposition, prête à défendre par sa vie, même, les valeurs de la démocratie, la liberté et l’égalité sociale, est celle des jeunes qui ‘ont « rien à perdre » et « tout à gagner » de cet engagement. C’est dans l’esprit de continuité avec ce mouvement que j’ai eu l’idée de prendre cette initiative ; Un parti politique pour les jeunes (de 7 à 77 ans comme le dit la chanson).
Pour justifier et expliquer ce que j’entends dire par « politique électronique » je voudrais avant tout rappeler le rôle important qu’ont joué les moyens de communication modernes, notamment les réseaux sociaux et les blogs, dans l’organisation, planification et surtout le suivit du mouvement citoyen qui a renversé la dictature et l’état policier de Ben Ali, avec des moyens que je qualifierais, honorablement, de dérisoires. Même après le renversement de l’ancien régime, le mouvement s’est poursuivit et le peuple Tunisien a pris son rôle de « superviseur » de la transition politique au sérieux et on a assisté à la naissance d’une nouvelle mode et forme de « journalisme citoyen » qui devrait être encouragée et encadrée voire même « officialiser » comme fit Slim Amemou avec des sessions ministérielles « Twittées » en temps réel. Comme ça, la démocratie prendra un sens beaucoup plus large que celui des urnes et des débats parlementaires. En outre, ceci garantira plus de transparence et augmentera la confiance de chaque citoyen en son gouvernement, démocratiquement élu.
Quelle orientation pour ce parti ? Je me suis posé cette question et en essayant de caser l’ensemble des idées qui me parcourent la tête et autour des quelles je voudrais bâtir ce projet, j’ai réalisé que ceci défie les règles « classique » de classification sur l’échiquier politique. En effet, je pourrais dire que les principes de base de ce mouvement, que j’exposerais par la suite, sont inspirés par un cocktail d’idéologies « traditionnellement » incompatibles et que j’espère avoir réussit. Pour moi, et je ne suis pas le seul à le penser, une révolution sans révolte idéologique aura, toujours, le goût d’inachevé et c’est pour ça que j’œuvrerais. Comme Carthage avait offert à l’humanité la première constitution, dans le passé, le quadrant politique et le diagramme de Nolan devraient être renversés par cette même Carthage, dans le présent.
Je vais exposer les lignes directrices de ce mouvement et que je souhaiterais peaufiner, par la suite, avec l’aide de ceux qui se sentiront intéressés par l’idée :
- L’identité Tunisienne : Pendant longtemps, l’identité Tunisienne a été définie, à tort, comme « arabo musulmane » par les éditeurs de la première constitution Tunisienne. En contradiction avec la première leçon d’histoire stipulant les « berbères » comme étant les habitants originels de la Tunisie, les Turques comme les derniers occupants en passant par un large catalogue de civilisations, d’ailleurs on dit toujours que la Tunisie est un carrefour de civilisations, l’identité « Arabe » a été imposée par la constitution, bien que bien des Tunisiens ne répondent pas à cette condition ; Les familles descendant des ottomans, Les familles berbères (la majeure partie du sud Tunisien), les Tunisiens vivant à l’étranger dont certains ont un parent occidental (en tout ils représentent 10% des Tunisiens), …etc. Dire que la Tunisie est Arabe reviendrait à « nier » la citoyenneté de plus du tiers des Tunisiens et jeter aux oubliettes la majeure partie de notre « Histoire ». Idem pour la religion, car dire que l’Islam est la religion de l’état Tunisien, c’est dire, à titre d’exemple, que Georges Adda n’est pas Tunisien. Les débats sur l’identité sont une caractéristique des sociétés « Racistes » voire même « Nazie » et la citoyenneté ne devrait reposer que sur l’accomplissement de ses devoirs envers la société et le respect des lois. L’identité devrait être une liberté tout comme le culte, la pensée, … pour ne pas dire d’un degré supérieur. Par contre, on pourrait définir les langues avec les quelles l’administration Tunisienne pourrait communiquer (au minimum 3 dont l’Anglais) pour des raisons administratives et définir les jours de repos en respectant la religion majoritaire de l’état Tunisien.
- La culture Tunisienne : L’identité étant une spécificité d’une personne, mais, la culture c’est celle de tout un groupe. La culture est plus qu’un patrimoine personnel ou régional, c’est un patrimoine universel ; une langue qui meurt ou une chanson qu’on oublie voire même un compte d’enfant qu’on ne raconte plus c’est une partie de l’histoire de l’humanité qui est massacrée et c’est pour ça que la culture devrait occuper une grande place dans les projets de développement. Il devrait y avoir des musées culturels dans toutes les régions de la Tunisie (au minimum un par gouvernorat) et qu’une grande partie de chaque musée soit dédiée à la mémoire de l’ensemble des cultures locales de chaque région. D’autre part, les manifestations culturelles thématiques devrait gagner d’importance et jouir d’une meilleure médiatisation voire commercialisation ce qui contribuerais à encourager le tourisme culturel qui ramènera les fonds nécessaires pour poursuivre ce chantier. La préservation du patrimoine culturel national passe aussi par la préservation des différentes langues et différents dialectes régionaux dont certains tendent à disparaitre au profit d’un dialecte « Tunisois » trop médiatisé et c’est pour ça que des dictionnaires des dialectes et des argots devraient être réalisés et on devrait encourager les médias régionaux (un minimum d’une station radio pour chaque 3 gouvernorats) et revoir la programmation de la Radio culturelle Tunisienne qui, trop élitiste, tends à parler une langue incomprise par 90% du peuple Tunisien. Le tout devrait être numérisé dans une archive nationale électronique qui devrait voir le jour, présentée d’une manière attractive et à la hauteur de la richesse culturelle de notre pays et mis à la disposition de tout citoyen Tunisien en veillant que des collaborateurs (jeunes de préférence pour qu’ils puissent prendre la relève) de chaque région veillent à sa maintenance (ceci contribuera à la création d’emplois dans les régions)
- Le développement régional : pendant 55 ans d’indépendance, l’état Tunisien a adopté une politique de marginalisation d’une majeure partie de la Tunisie. En effet, la politique économique Tunisienne trop orientée vers le tourisme balnéaire avait défavorisé l’intérieur du pays qui s’était trouvé avec une infrastructure quasi inexistante (ce qui a découragé tout projet d’investissement régional et par la suite absence d’emplois) et un manque horrible d’espaces de détente (ce qui contribua à la réduction de la population dont les jeunes avaient opté pour les grandes villes côtières), ainsi l’inégalité sociale avait pris tout son sens et le sentiment de rejet est né pour aboutir à l’accentuation du régionalisme et toute forme de haine sociale. Voilà pourquoi, il est temps d’inverser la tendance en veillant à améliorer à la fois l’infrastructure des zones d’ombre, surtout celle des télécommunications comme ça on pourra relancer le rythme des investissements et de la création d’emplois dans ces zones surtout les emplois à distance (centres d’appel, services, …) le plus rapidement possible.
- Le développement durable : Il nous est impossible de parler de sécurité nationale en dehors d’un plan de développement durable qui prend en considération les changements climatiques et leur impact sur la survie de l’espèce humaine. Les axes principaux du développement durable sont : L’encouragement de l’utilisation des énergies renouvelables, la sensibilisation de l’importance de réduction de la consommation énergétique, l’encouragement de la recherche scientifique dans ce secteur et la modernisation des outils de sensibilisation, jusque là enfantins, de l’importance du développement durable. D’autre part, il est important de préserver le patrimoine naturel Tunisien et de le mettre de plus en plus en valeur et pourquoi pas en faire un produit touristique à très haute valeur ajoutée.
- L’égalité des chances : La Tunisie n’a plus le droit de se vanter de l’égalité des sexes, car à ce stade assez avancé, ce serait comme s’il y avait un doute là-dessus. Le code du statut personnel pourrait, à lui seul, garantir cet acquis et il suffirait, à travers les programmes éducatifs, le renforcer. Cependant, sur le plan de l’égalité des chances, l’égalité des sexes n’est qu’un point parmi d’autres. L’abolition de la corruption et l’incrimination du favoritisme devraient figurer en tête des priorités de la Tunisie pour réussir une politique sociale où tout le monde à la même chance et jouit des mêmes droits.
- Le travail : Le travail devrait être un « droit » et un « devoir » à la fois. Toute personne ayant atteint l’âge de pouvoir travailler et ayant quitté l’école (ou n’importe quelle institution éducative ou centre de formation) a le droit d’avoir un travail. En réalité, l’indépendance passe avant tout par l’indépendance financière qui ne pourrait s’accomplir qu’en travaillant. Voilà pourquoi l’état devrait tout mettre en œuvre pour assurer l’embauche du maximum de personnes possible directement ou en encourageant l’investissement. Il suffirait d’appliquer une imposition sur les épargnes bancaires ayant atteint un seuil prédéfinit pour pousser les « riches » à investir et à créer, par ce faite, des emplois. Par contre, il ne faut pas mettre le taux de chômage en sa totalité sur le dos du manque d’opportunités car certaines personnes ont développé une culture de « passivité dans la vie professionnelle » en refusant les professions libérales ou de travailler dans le secteur privé au profit de l’interminable attente des concours (CAPES, …) et c’est pour cela que le travail devrait figurer sur la liste des devoirs de tout citoyen et que toute personne ayant reçu une offre d’emploi et qu’elle décline ne devrait plus avoir le droit d’aspirer à un poste dans le secteur étatique.
- Enseignement et CAPES : Un des problèmes majeurs et des cauchemars de la jeunesse Tunisienne est le CAPES. Avec des postes d’enseignant se faisant de plus en plus rare, les listes d’attente se font longues et horribles alors que d’autre part la qualité de l’enseignement se laisse dégrader à cause de ce qu’on appelle « cours particuliers » qui ne sont qu’un contournement de la loi sur la double fonction. Il est inadmissible qu’au moment où certains peinent à former un petit groupe d’élève à enseigner pour se faire de l’argent de poche en attendant qu’un poste d’enseignant soit vacant, d’autres se permettent de faire le service minimum en classe pour pousser les élèves à suivre des cours particuliers, si ce n’est par le chantage des notes. Ceci ne va sans citer les honoraires qu’ils reçoivent et qui constituent un fardeau pour toute famille cherchant la meilleure éducation de ses enfants. Voilà pourquoi, il faudra interdire à tout enseignant tenu par un contrat de travail (dans une institution scolaire privée ou étatique) d’enseigner en dehors de cette institution et de recevoir des honoraires pour ce service. D’autre part, pour les enfants qui souhaiteraient améliorer leur niveau ou bénéficier d’une assistance éducative supplémentaire, le statut d’enseignant à domicile (ou aide scolaire) devra être créé avec un tarif bien définit, une formation et mise à niveau continus pour ces enseignants, une sécurité sociale et une retraite garantis et possibilité d’investissement dans des établissements privés dédiés à l’aide scolaire.
- Les libertés individuelles : On ne peut parler de démocratie dans une société qui se permet d’être le « tuteur » ou le « censeur » des libertés au nom de l’élitisme, peu importent les raisons. Toute personnes ayant atteint l’âge de la majorité, et donc de la responsabilité juridique, devrait bénéficier d’une liberté inconditionnée et ce dans le respect des lois et des libertés des autres.
- L’économie Tunisienne : l’économie Tunisienne de vue sa fragilité a été contrainte à suivre des programmes de développement « trop prudent » qui au prix d’une prévention de crashs avaient ralenti et empêché des booms économiques. D’autre part, la bureaucratie de l’administration Tunisienne, calcée sur un modèle Français qui n’est point le meilleur qu’il soit au monde, est ce qui décourage, le plus, les investisseurs à s’implanter chez nous. Voilà pourquoi, les lois Tunisiennes devraient devenir plus libérales pour le secteur économique et l’administration électronique devrait atteindre la maturité qu’il faut pour permettre la création d’entreprises en quelques clicks de souris.
- La contribution du citoyen dans la prise de décision : Dans tout processus démocratique, le pouvoir nait du peuple à fin de veiller sur ses intérêts. Dans toutes les démocraties, ceci se traduit par les élections et les référendums, au mieux, des organisations ou des associations assurent le contrôle ou la continuité entre le pouvoir et les citoyens. Cette notion démocratique me semble d’un autre âge, quand les moyens de communication ne permettaient pas d’établir un lien directe entre le gouverneur et le gouverné. Or, les temps ont changé et on en est au point où il est possible de réunir tout le monde, non autour d’une seule table, mais dans un même réseau de diffusion et de collecte d’informations. La Tunisie devrait se munir d’un réseau (intranet) géant qu’il couvrirait l’ensemble du territoire. Chaque citoyen devrait être muni de son propre identifiant électronique (tout comme une CIN pour le monde physique) qui lui permettra d’accéder à ce réseau et de participer à la gouvernance du pays. Loin de vouloir tomber dans le populisme, ce réseau serait, plutôt, un œil gardé sur la société. Ce réseau pourrait faire office de portail vers l’administration Tunisienne (Administration électronique tant rêvée), vers les archives nationales, … Une adresse unique et un identifiant unique ; l’ultime remède contre la bureaucratie et la complexité des formalités administratives. Il faudrait que dans les listes des élections législatives, municipales, … prévoir, au moins, un poste de porte parole électronique de la liste. Sont rôle serait d’assurer une présence dans les réseaux sociaux, les forums de discussions, les blogs, … pour être à l’écoute de la rue et assurer la bonne communication des informations en provenance des autorités (locales, régionales, …) pour atteindre un plus haut degré de transparence et de confiance entre le peuple et ses responsables.
les idées présentées, dessus, représentent les grandes lignes directrices du parti que je voudrais créer. Je ne pouvais aborder tous les secteurs, car même assez cultivé, je ne peux détenir le savoir absolu et c’est pour ça que j’aimerais réunir à mes côtés d’autres jeunes gents avec des idées aussi révoltées pour créer ce mouvement. Donc si le projet vous parle, n’hésitez pas à me contacter ou à me laisser vos coordonnées pour entamer les démarches administratives.
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2 commentaires:
Oui , bonne idée !
Une page Facebook pour le parti : http://www.facebook.com/pages/Parti-Tunisien-pour-une-Politique-Electronique-PTPE/190244107662410
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