lundi 25 août 2008

Aire que je Fredonne

Yesterday des Beatles :

Yesterday, all my troubles seemed so far away
Now it looks as though they're here to stay
Oh I believe in yesterday

Suddenly, I'm not half the man I used to be
There's a shadow hanging over me
Oh yesterday came suddenly

Why she had to go I don't know
She wouldn't say
I said something wrong now I long for yesterday

Yesterday, love was such an easy game to play
Now I need a place to hide away
Oh I believe in yesterday

Why she had to go I don't know
She wouldn't say
I said something wrong now I long for yesterday

Yesterday, love was such an easy game to play
Now I need a place to hide away
Oh I believe in yesterday

Etre ou ne pas Etre, ce n'est peut être pas ça le problème ?

Tout vient de recommencer, de suivre son cours normal, son train train de vie, mais, pas encore la mienne. Toujours à la recherche de ma voie et de mon point de dérision et de chute. Comment sera cette nouvelle situation, cette nouvelle vie, ce boulot, cette fille. Je me rend compte que dans ma tête, mes noeurones s'adaptent moins rapidement que mon vécu à cette nouvelle routine, à ce nouveau vécu. elle est si gentille, il est si enrichissant, ils sont très respectueux, je suis trop confus. J'ai peur de trahir, de blesser, de faillir, du changement qui s'avène, des histoires qui reviennent, au devant de la scène. au bout du compte le problème vient de moi, de mon incapacité à m'accepter content, comblé, il faut que je cherche toujours le hic, suis je peut être trop sadique ; les cuisses de la crémière sont déjà beaux et doux, mais, ses gémissements ne sont pas à mon goût. Je m'acharne sur tout, je devient fou, je suis à bout de ne réaliser la valeur des choses quand je perds tout.