Il était là, simplement habillé, décontracté. Elle lui a serré la main, ils ont pris la direction d'un café, autour d'une table ils se sont assis. Elle était d'une telle timidité et méfiance qu'elle n'osait engager une quel conque discussion, il était d'une telle spontanéité qu'il ne s'arrêtait de parler. Elle aimait sa compagnie, mais, avait peur de cette différence entre elle et lui; Chaque phrase qu'il sortait et sur laquelle elle n'ose répliquer pesait lourd sur son cœur et essayant de le cacher derrière un sourire, elle se mettait de la pression au point que tout son corps en tremblait. Pour elle, c'était le début d'une sincère amitié, mais, jamais le prélude d'une belle et merveilleuse histoire d'amour. En le regardant dans les yeux, elle s'angoissait devant ce regard curieux et voyait qu'il n'était point aussi détendu qu'il ne laissait afficher. Ce soir, en rentrant, sans doute, il l'appellera pour lui dire qu'il préfèrerait s'en tenir à l'amitié.
Elle s'était donné de la peine pour être correctement habillée, sans excès ni artifices, faute de quoi, elle se sentirait gênée. Qu'il ne se soit pas penché dès la première rencontre pour lui faire la bise lui a évité le malaise de rougir en début de sortie. L'endroit, très public, a pratiquement fait disparaitre tout le trac qui lui nouait l'estomac. Il avait pris l'habitude, par son travail, d'entamer la discussion sur des sujets divers, histoire de détendre l'atmosphère, elle était sobre et raisonnée, prêtant oreille à chaque mot qu'il prononçait sans trop répliquer. IL se sentait ravis par sa présence, mais, s'affolait qu'il n'arrivait pas à la pousser à la causette; Quand elle souriait, sans s'exprimer, il sous entendait que son monologue la désintéressait et que dans un soucis de respect, elle le cachait derrière ce lon silence trahi par des petits tiques nerveux qu'elle ne pouvait contrôler. Pour lui, l'évidence était qu'il n'espèrera plus que des messages de vœux pour les fêtes, mais, jamais de merveilleux souvenirs qui se fêtent. Il tentait, en vain, d'attirer son regard qui effleurait le sien, par moments, et en se posant des millions de questions sur ce qu'il lui inspirait, il affichait un air confiant. Ce soir, quand il l'appellera, elle se contentera de le remercier pour le café sans évoquer un nulle plaisir et il comprendra, tout de suite, que ce sera tout.
Le taxi les ramenait au quartier ou elle habite et tous les deux ne pouvaient que garder le silence dans l'attente de l'ultime verdict, après s'être échangés les numéros de téléphone. Il ne voulait bousculer les bonnes manières en la laissant rentrer seule, elle y voyait une galanterie louable. Quand ils descendirent de la voiture, et qu'ils faisaient les derniers mètres, à pied, il n'a manqué de lui avouer qu'il la trouvait belle, jamais il ne su pourquoi. Elle avait souri, différemment, cette fois ci, elle n'avait pas tremblé. Elle était plus belle, à ses yeux. Quand il a du lui dire au revoir, il a pris son téléphone et lui composa un message, c'était leur premier échange téléphonique; il l'avait remercié pour la faveur qu'elle lui avait accordé, fait part du plaisir qu'il a eu en sa compagnie, avoué son impatiente pour la prochaine fois. Les quelques mots qui accompagnèrent son merci avaient changé la donne pour leur relation. Quelques phrases et deux remerciements avaient signé ce que fut, par la suite, l'engagement de toute une vie.
Depuis qu'il était parti, elle le voyait dans ses rêves. Il était, toujours, là, habillé comme pour un diner romantique, ils s'embrassaient en se voyant et elle ne le laisser placer une seule phrase tout au long du rêve, elle lui racontait, chaque nuit, ses journées ...
Elle s'était donné de la peine pour être correctement habillée, sans excès ni artifices, faute de quoi, elle se sentirait gênée. Qu'il ne se soit pas penché dès la première rencontre pour lui faire la bise lui a évité le malaise de rougir en début de sortie. L'endroit, très public, a pratiquement fait disparaitre tout le trac qui lui nouait l'estomac. Il avait pris l'habitude, par son travail, d'entamer la discussion sur des sujets divers, histoire de détendre l'atmosphère, elle était sobre et raisonnée, prêtant oreille à chaque mot qu'il prononçait sans trop répliquer. IL se sentait ravis par sa présence, mais, s'affolait qu'il n'arrivait pas à la pousser à la causette; Quand elle souriait, sans s'exprimer, il sous entendait que son monologue la désintéressait et que dans un soucis de respect, elle le cachait derrière ce lon silence trahi par des petits tiques nerveux qu'elle ne pouvait contrôler. Pour lui, l'évidence était qu'il n'espèrera plus que des messages de vœux pour les fêtes, mais, jamais de merveilleux souvenirs qui se fêtent. Il tentait, en vain, d'attirer son regard qui effleurait le sien, par moments, et en se posant des millions de questions sur ce qu'il lui inspirait, il affichait un air confiant. Ce soir, quand il l'appellera, elle se contentera de le remercier pour le café sans évoquer un nulle plaisir et il comprendra, tout de suite, que ce sera tout.
Le taxi les ramenait au quartier ou elle habite et tous les deux ne pouvaient que garder le silence dans l'attente de l'ultime verdict, après s'être échangés les numéros de téléphone. Il ne voulait bousculer les bonnes manières en la laissant rentrer seule, elle y voyait une galanterie louable. Quand ils descendirent de la voiture, et qu'ils faisaient les derniers mètres, à pied, il n'a manqué de lui avouer qu'il la trouvait belle, jamais il ne su pourquoi. Elle avait souri, différemment, cette fois ci, elle n'avait pas tremblé. Elle était plus belle, à ses yeux. Quand il a du lui dire au revoir, il a pris son téléphone et lui composa un message, c'était leur premier échange téléphonique; il l'avait remercié pour la faveur qu'elle lui avait accordé, fait part du plaisir qu'il a eu en sa compagnie, avoué son impatiente pour la prochaine fois. Les quelques mots qui accompagnèrent son merci avaient changé la donne pour leur relation. Quelques phrases et deux remerciements avaient signé ce que fut, par la suite, l'engagement de toute une vie.
Depuis qu'il était parti, elle le voyait dans ses rêves. Il était, toujours, là, habillé comme pour un diner romantique, ils s'embrassaient en se voyant et elle ne le laisser placer une seule phrase tout au long du rêve, elle lui racontait, chaque nuit, ses journées ...
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