Depuis le début de la révolution Tunisienne (ainsi je ne serais pas lapidé pour le mot Jasmin ni critiqué pour les termes élogieux d'ici le prochain président), je n'ai pas eu trop d'inspiration sauf pour honorer à ma manière Med Bouazizi, pour appeler à la reconstruction ou pour afficher, en toute liberté d'expression (comme c'est Ghor de le signaler à chaque fois; celui qui n'a habitude de l'encens se brule les habits), mon mécontentement de l’éternelle insatisfaction de mon peuple. Cependant, aujourd’hui, alors que les choses se sont calmées subitement, je voulais me pencher, plutôt, sur une analyse personnelle de la nouvelle composition du gouvernement que, entre autre, j’espère aura le temps d’apporter des réformes tant attendues. Dans un premier temps, j’analyserais, après, je proposerais quelques réformes que j’espère parviendront aux ministres et responsables concernés (ils pourraient commencer par celles sur le radar automatique).
Ma première constatation est que le nouveau gouvernement est encore plus technocrate que celui du 17 janvier 2011, or une telle orientation, bien qu’elle garanti une indépendance et l’absence d’enjeux politiques qui risqueraient d’handicaper la transition démocratique, a le sacré inconvénient de se vouloir élitiste pour ne pas dire platonique. En effet, le gouvernement actuel est trop bourgeois pour pouvoir espérer le voir répondre aux besoins du peuple majoritairement « pauvre » (dans le sens où nous somme 80% d’endettés tels le confirment les dernières statistiques). D’autre part, le manque d’expérience politique de la majorité des ministres actuels risquerait de mettre en colère la population aux premiers contacts qu’ils auront avec la foule comme fut le cas avec Mr Ahmed Friaa, aussi bonnes seront leurs intentions. A vrai dire, ces nouvelles têtes avaient l’habitude de tchatcher avec des gens assez instruits, cultivés, actifs, aisés (enfin ils ne sont pas fauchés) et surtout rationnels (Ingénieurs, Médecins, Avocats, UNESCO, …), or, parler à Mr « je suis au chômage depuis plus de 10 ans et j’ai quitté l’école à 16 ans » requière une toute autre expérience sociale. Pour moi, la meilleure solution serait que chacun de ses ministres prévoit à ses cotés un conseiller « du peuple » ; le plus facile serait de profiter périple matinal vers le ministère pour devenir le « confident » du chauffeur qui le conduit comme le faisaient beaucoup de nos anciens ministres. Je propose aussi une formation sur les techniques de communication (pas pour le milieu professionnel comme ils ont du en faire, tous) avant n’importe quel bain de foule à fin de nous épargner encore des jours de bordel général.
Ma deuxième remarque porte sur l’exclusion de certains partis (officieux et non officiels) du nouveau gouvernement de transition que je doute qu’ils épargneront la nouvelle composition gouvernementale de leurs contestations et Cie. Il ne faut pas oublier que la ruée vers la capitale des masses populaires était une réponse à l’appel d’un certain « Hamma Hammèmi » sur Hannibal TV ! Là qu’on ne satisfait, encore pas, ce militant communiste aguerri, ils risqueraient de l’avoir dans les pattes à coté de « Ennahdha », autre entité écarté du lot alors qu’on a noté l’entrée en jeu de pas moins de 3 figures inconnues (pas pour moi, pour le moins, vu que Mr Yassine Brahim figurait dans les hautes sphères de SUNGARD, là où je bossais et surtout que les chefs de boites informatiques ne sont jamais méconnus pour n’importe quelle personne du secteur) et sans ambitions politiques (je reviendrais sur ce choix ultérieurement). On a du sous estimer la capacité de ses deux groupes à s’improviser tête de peloton (la technocratie encore et toujours) alors que la rue est chaude bouillante et surtout avide de discours révolutionnaires sur leur condition sociale et faisant appel à leur foi (qui tient une très grande place dans la société tunisienne). Bon, sur ce coup, je n’ose qu’espérer que les réformes sociales, les discours de Mr Ahmed Nejib Chebbi, en sa qualité de ministre du développement régional et local et surtout l’allègement de l’étau qui étouffait la liberté du culte, suffiront à canaliser la colère populaire et à contrer les plans d’attaques des mouvements communistes et islamistes qui pourraient, pourquoi pas, par leur totale opposition, se neutraliser mutuellement.
Me revoilà, à ce stade, revenir sur le choix de Tunisiens qui sont des vrais « success story » et qui sont des pointures dans les multinationales et les grands groupes mondiaux où ils figurent dans la liste des dirigeants. Cette orientation que j’aurais aimé voir transformé, plutôt, en syndicat patronal, me semble un choix stratégique pour impulser l’investissement étranger. La scène politique Tunisienne est trop socialiste au goût des groupes qui tablent sur des « bases avancées » de plus de 1000 employés et qui opteraient, plus, pour une politique plus libérale et orientée vers l’économie du marché. Il serait trop difficile voire impossible de compter sur les « promesses » et la publicité pour convaincre les investisseur de nos « intentions » économiques. Voilà pourquoi, en fin ce que je pense, on a puisé dans nos compétences les plus « capitalistes » même si indépendantes, pour lancer une campagne marketing assez convaincante. Pour la version du « verre à moitié plein » ceci sera garant de l’impulsion du marché du recrutement et, pourquoi ne pas transformer le leurre en réalité, atteindre le chiffre de 300 000 emplois en deux ans. Pour l’autre « moitié vide » je pense que les acquis sociaux seront gelés (tout comme les comptes bancaires des Ben Ali et Trabelsi) surtout que l’UGTT a été assez discrédité et lâche, à la fois, pour pouvoir faire le poids. Pour moi, c’est simple ; Il nous faut d’autres centrales syndicales « Spécialisés » pour s’assurer d’avoir les meilleurs combattants « au front » pour défendre les droits des travailleurs et assurer un certain équilibre pour ne pas sombrer dans une « dictature économique » après avoir vécu la politique, car avec Jrad et sa horde on pourra dire adieu à la dignité et compter sur un retour à l’esclavagisme.
J’arrive à un point très important et positif de ce remaniement ; La Laïcité ! Je ne cacherais jamais mon attachement à cette valeur que les gens confondent toujours avec « athéisme » alors que la laïcité était apparue dans les sociétés musulmanes il y a plus de 1000 ans de ça, à une époque où ils étaient maîtres du monde. Pourquoi ai-je mis la laïcité sur la liste des points importants ? Tout simplement car avant la stabilité économique, ce sera elle qui garantira la paix sociale et surtout le respect des libertés individuelles et le non retour à une dictature, théocratique surtout, comme souhaiteraient certains. Même Mr Yadh Ben Achour, dont la mission est d’être le chef d’orchestre de la commission de réforme politique, est un des grands maîtres de la discipline avec ses recherches et études sur la laïcité et sa concordance avec « la culture islamique » que les Islamistes (à ne pas confondre avec les musulmans dans un souci de respect des musulmans) prennent pour cheval de bataille pour infecter les sociétés musulmanes. Cependant, je propose une mise en valeur de l’importance de cette approche pour bâtir « l’état de droits » par une bonne campagne de médiatisation (éviter les laïques radicaux) et surtout une mise en pratique avec une liberté du culte TOTALE dans les limites du respect d’autrui. En termes plus simple : Laissez les gens tranquilles ! Un barbu avec sa femme voilée et leurs enfants qui gigotent dans tous les sens dans un café à côté d’une table avec une fille en minijupe et son petit copain à la coupe tectonique (excusez le fait que je ne sois pas trop IN) et un personnel, mixte et payé sur la même base salariale, qui les sert de la même manière, avec le même sourire et le même respect est le seul garant contre l’extrémisme, le terrorisme et la discorde idéologique. Autrement, vous pouvez prier dès présent pour que la guerre civile ne dure pas trop longtemps. En plus, et c’est là que je vais surprendre, il faut qu’un parti tels que Ennahdha obtienne sa licence avec une obligation de respecter les valeurs de la république Tunisienne à savoir : « Liberté, Ordre et Justice » et de reconnaître la législation Tunisienne en tant que seule et unique législation (y compris le code du statut personnel).
Avant de clore cet article (car il m’en a tout l’air), je voudrais parler des médias et de ce trop de liberté d’expression voire de diffamation, dans le cadre de l’irrespect mutuel, en plus du retour à la censure « légale » des sites internet. Je pense que la période d’essais gratuit de la liberté d’expression doit toucher à sa fin pour ne pas sombrer dans le manque de professionnalisme et la médiocrité, comme c’est le cas sur certains espaces médiatique. Dois-je rappeler que même dans les plus grandes démocraties du monde, un minimum est exigé : Respect d’autrui et jamais d’accusations sans preuves sinon ça virera à la diffamation ! Ainsi faudrait il qu’on explique à ces pseudo journalistes qui ne font que souiller le paysage médiatique Tunisien qu’il n’y a de place à la bassesse et à la lèche via l’insulte (comme le faisaient certains journaux sous le régime de Ben Ali en s’attaquant bêtement aux opposants de l’époque) et qu’on veut d’un journalisme professionnel (qui propose un produit répondant aux normes de l’intelligence humaine et joue son rôle de quatrième pouvoir), fiable dans les informations qu’ils avance (et ne va pas les puiser dans les groupes louches de Facebbok) et surtout respectable (le sarcasme est une meilleure alternative à la diffamation pour pouvoir critiquer). Pour ce qui est de la censure des sites « immoraux » ou qui incitent au « terrorisme », je dois dire qu’un encadrement des jeunes avec des vrais programmes éducatifs et activités associatives serait une bien meilleure protection contre le pourrissement de leurs idéologie et morale que la censure qui a fait déjà défaut. Sans oublier que la répression ne mènera qu’à l’explosion !
Me voilà terminant mon tout premier article à vocation socio-politique, au vrai sens du terme. Je voulais donner mon avis sur ce qui se passe tout en proposant quelques idées, sans devoir attendre les fameuse « consultations et dialogue avec les jeunes ». J’espère que ça ne vous a pas trop lassé et, surtout, que mon message parviendra aux gens concernés.
PS : Mr les responsables, si vous voulez m’embaucher en tant que consultant, je vous fais savoir que je travaille chez une boite qui fait de la prestation de service et que vous parviendrez à trouver un arrangement :p
Ma première constatation est que le nouveau gouvernement est encore plus technocrate que celui du 17 janvier 2011, or une telle orientation, bien qu’elle garanti une indépendance et l’absence d’enjeux politiques qui risqueraient d’handicaper la transition démocratique, a le sacré inconvénient de se vouloir élitiste pour ne pas dire platonique. En effet, le gouvernement actuel est trop bourgeois pour pouvoir espérer le voir répondre aux besoins du peuple majoritairement « pauvre » (dans le sens où nous somme 80% d’endettés tels le confirment les dernières statistiques). D’autre part, le manque d’expérience politique de la majorité des ministres actuels risquerait de mettre en colère la population aux premiers contacts qu’ils auront avec la foule comme fut le cas avec Mr Ahmed Friaa, aussi bonnes seront leurs intentions. A vrai dire, ces nouvelles têtes avaient l’habitude de tchatcher avec des gens assez instruits, cultivés, actifs, aisés (enfin ils ne sont pas fauchés) et surtout rationnels (Ingénieurs, Médecins, Avocats, UNESCO, …), or, parler à Mr « je suis au chômage depuis plus de 10 ans et j’ai quitté l’école à 16 ans » requière une toute autre expérience sociale. Pour moi, la meilleure solution serait que chacun de ses ministres prévoit à ses cotés un conseiller « du peuple » ; le plus facile serait de profiter périple matinal vers le ministère pour devenir le « confident » du chauffeur qui le conduit comme le faisaient beaucoup de nos anciens ministres. Je propose aussi une formation sur les techniques de communication (pas pour le milieu professionnel comme ils ont du en faire, tous) avant n’importe quel bain de foule à fin de nous épargner encore des jours de bordel général.
Ma deuxième remarque porte sur l’exclusion de certains partis (officieux et non officiels) du nouveau gouvernement de transition que je doute qu’ils épargneront la nouvelle composition gouvernementale de leurs contestations et Cie. Il ne faut pas oublier que la ruée vers la capitale des masses populaires était une réponse à l’appel d’un certain « Hamma Hammèmi » sur Hannibal TV ! Là qu’on ne satisfait, encore pas, ce militant communiste aguerri, ils risqueraient de l’avoir dans les pattes à coté de « Ennahdha », autre entité écarté du lot alors qu’on a noté l’entrée en jeu de pas moins de 3 figures inconnues (pas pour moi, pour le moins, vu que Mr Yassine Brahim figurait dans les hautes sphères de SUNGARD, là où je bossais et surtout que les chefs de boites informatiques ne sont jamais méconnus pour n’importe quelle personne du secteur) et sans ambitions politiques (je reviendrais sur ce choix ultérieurement). On a du sous estimer la capacité de ses deux groupes à s’improviser tête de peloton (la technocratie encore et toujours) alors que la rue est chaude bouillante et surtout avide de discours révolutionnaires sur leur condition sociale et faisant appel à leur foi (qui tient une très grande place dans la société tunisienne). Bon, sur ce coup, je n’ose qu’espérer que les réformes sociales, les discours de Mr Ahmed Nejib Chebbi, en sa qualité de ministre du développement régional et local et surtout l’allègement de l’étau qui étouffait la liberté du culte, suffiront à canaliser la colère populaire et à contrer les plans d’attaques des mouvements communistes et islamistes qui pourraient, pourquoi pas, par leur totale opposition, se neutraliser mutuellement.
Me revoilà, à ce stade, revenir sur le choix de Tunisiens qui sont des vrais « success story » et qui sont des pointures dans les multinationales et les grands groupes mondiaux où ils figurent dans la liste des dirigeants. Cette orientation que j’aurais aimé voir transformé, plutôt, en syndicat patronal, me semble un choix stratégique pour impulser l’investissement étranger. La scène politique Tunisienne est trop socialiste au goût des groupes qui tablent sur des « bases avancées » de plus de 1000 employés et qui opteraient, plus, pour une politique plus libérale et orientée vers l’économie du marché. Il serait trop difficile voire impossible de compter sur les « promesses » et la publicité pour convaincre les investisseur de nos « intentions » économiques. Voilà pourquoi, en fin ce que je pense, on a puisé dans nos compétences les plus « capitalistes » même si indépendantes, pour lancer une campagne marketing assez convaincante. Pour la version du « verre à moitié plein » ceci sera garant de l’impulsion du marché du recrutement et, pourquoi ne pas transformer le leurre en réalité, atteindre le chiffre de 300 000 emplois en deux ans. Pour l’autre « moitié vide » je pense que les acquis sociaux seront gelés (tout comme les comptes bancaires des Ben Ali et Trabelsi) surtout que l’UGTT a été assez discrédité et lâche, à la fois, pour pouvoir faire le poids. Pour moi, c’est simple ; Il nous faut d’autres centrales syndicales « Spécialisés » pour s’assurer d’avoir les meilleurs combattants « au front » pour défendre les droits des travailleurs et assurer un certain équilibre pour ne pas sombrer dans une « dictature économique » après avoir vécu la politique, car avec Jrad et sa horde on pourra dire adieu à la dignité et compter sur un retour à l’esclavagisme.
J’arrive à un point très important et positif de ce remaniement ; La Laïcité ! Je ne cacherais jamais mon attachement à cette valeur que les gens confondent toujours avec « athéisme » alors que la laïcité était apparue dans les sociétés musulmanes il y a plus de 1000 ans de ça, à une époque où ils étaient maîtres du monde. Pourquoi ai-je mis la laïcité sur la liste des points importants ? Tout simplement car avant la stabilité économique, ce sera elle qui garantira la paix sociale et surtout le respect des libertés individuelles et le non retour à une dictature, théocratique surtout, comme souhaiteraient certains. Même Mr Yadh Ben Achour, dont la mission est d’être le chef d’orchestre de la commission de réforme politique, est un des grands maîtres de la discipline avec ses recherches et études sur la laïcité et sa concordance avec « la culture islamique » que les Islamistes (à ne pas confondre avec les musulmans dans un souci de respect des musulmans) prennent pour cheval de bataille pour infecter les sociétés musulmanes. Cependant, je propose une mise en valeur de l’importance de cette approche pour bâtir « l’état de droits » par une bonne campagne de médiatisation (éviter les laïques radicaux) et surtout une mise en pratique avec une liberté du culte TOTALE dans les limites du respect d’autrui. En termes plus simple : Laissez les gens tranquilles ! Un barbu avec sa femme voilée et leurs enfants qui gigotent dans tous les sens dans un café à côté d’une table avec une fille en minijupe et son petit copain à la coupe tectonique (excusez le fait que je ne sois pas trop IN) et un personnel, mixte et payé sur la même base salariale, qui les sert de la même manière, avec le même sourire et le même respect est le seul garant contre l’extrémisme, le terrorisme et la discorde idéologique. Autrement, vous pouvez prier dès présent pour que la guerre civile ne dure pas trop longtemps. En plus, et c’est là que je vais surprendre, il faut qu’un parti tels que Ennahdha obtienne sa licence avec une obligation de respecter les valeurs de la république Tunisienne à savoir : « Liberté, Ordre et Justice » et de reconnaître la législation Tunisienne en tant que seule et unique législation (y compris le code du statut personnel).
Avant de clore cet article (car il m’en a tout l’air), je voudrais parler des médias et de ce trop de liberté d’expression voire de diffamation, dans le cadre de l’irrespect mutuel, en plus du retour à la censure « légale » des sites internet. Je pense que la période d’essais gratuit de la liberté d’expression doit toucher à sa fin pour ne pas sombrer dans le manque de professionnalisme et la médiocrité, comme c’est le cas sur certains espaces médiatique. Dois-je rappeler que même dans les plus grandes démocraties du monde, un minimum est exigé : Respect d’autrui et jamais d’accusations sans preuves sinon ça virera à la diffamation ! Ainsi faudrait il qu’on explique à ces pseudo journalistes qui ne font que souiller le paysage médiatique Tunisien qu’il n’y a de place à la bassesse et à la lèche via l’insulte (comme le faisaient certains journaux sous le régime de Ben Ali en s’attaquant bêtement aux opposants de l’époque) et qu’on veut d’un journalisme professionnel (qui propose un produit répondant aux normes de l’intelligence humaine et joue son rôle de quatrième pouvoir), fiable dans les informations qu’ils avance (et ne va pas les puiser dans les groupes louches de Facebbok) et surtout respectable (le sarcasme est une meilleure alternative à la diffamation pour pouvoir critiquer). Pour ce qui est de la censure des sites « immoraux » ou qui incitent au « terrorisme », je dois dire qu’un encadrement des jeunes avec des vrais programmes éducatifs et activités associatives serait une bien meilleure protection contre le pourrissement de leurs idéologie et morale que la censure qui a fait déjà défaut. Sans oublier que la répression ne mènera qu’à l’explosion !
Me voilà terminant mon tout premier article à vocation socio-politique, au vrai sens du terme. Je voulais donner mon avis sur ce qui se passe tout en proposant quelques idées, sans devoir attendre les fameuse « consultations et dialogue avec les jeunes ». J’espère que ça ne vous a pas trop lassé et, surtout, que mon message parviendra aux gens concernés.
PS : Mr les responsables, si vous voulez m’embaucher en tant que consultant, je vous fais savoir que je travaille chez une boite qui fait de la prestation de service et que vous parviendrez à trouver un arrangement :p