Aujourd’hui le 15 novembre 2005, je me trouve assis devant ce clavier qui est devenu depuis un certain bout de temps un vrai confident pour moi. Mon corps est fragilisé par le mauvais temps, et le temps lui, plus mauvais que le temps, a fragilisé mon cœur. J’erre parmi les êtres humains et dans ma déroute je cherche un refuge ou un quelque par où je pourrais me barricader autre que le silence et la solitude. J’ai perdu confiance dans les hommes et les femmes car ils ont, eux, perdu plus que ça ; ils ont perdu leur nature et leurs valeurs. Je ne sais pas s’ils les ont perdu ou s’ils les ont vendu, car dans cette ère, où tout a un prix, rien n’est garanti. Si j’étais conscient dès le départ de cela je n’en serais pas arrivé à là. J’ai gardé longtemps la foi que des mots tels que sincérité, honnêteté, vertu, amour,…etc. ont une signification si grande et si intense qu’elle se gardera quoiqu’il se fasse. Hélas, j’étais trop candide pour croire à de telles idées. Je croix même que c’est la plus grande bêtise de ma vie. En effet, les temps modernes ont voulu que sincérité prenne le sens de culot, honnêteté celui de manque d’ambition, vertu celui d’intégrisme mais quand à amour, il n’a plus de sens. C’est bizarre que je ne m’en suis aperçu que si tard, alors que le mot valeur a perdu son sens depuis que les philosophes ont cessé de vivre et d’exister et que les prophètes ont été bannis par les hommes.
Il est tout à ft ainormal qu’un être comme moi aberre dans ce monde surtout quand il est choqué par le réalisme contemporain. Il y a près de deux mois d’aujourd’hui, j’ai écris que je puisait ma force dans ma faiblesse et dans ma fragilité. Alors sachez que je suis devenu si fort qu’invincible. Mais, le problème est que cette force m’a changé et m’a métamorphosé. Je ne suis plus ce poète rêveur, amoureux, parfois triste et parfois épanoui. D’ailleurs, mon dernier poème je ne me rappelle plus quand l’ai je mis au monde. Je ne sais même pas si je demeure un être humain qui ressent la peine, la joie, la haine et l’amour. A propos c’est quoi au juste l’amour ? Est-ce ce qu’on ressent envers une personne lorsqu’on la voit ou lorsqu’on voit son corps, sa voiture ou ses biens. Je cherche encore une réponse à cette question car je connais l’effet que peut avoir une personne sur soi et je vois l’effet que donne une voiture par exemple à quelqu’un sur quelqu’un d’autre. Je reviens à là où j’en étais, ma métamorphose m’a rendu quelqu’un d’insensible, sans foi ni repères. Comme un vampire, j’ai perdu mon âme et je vis dans les ténèbres. Comme un vampire je suis un mort vivant. Comme un vampire je suis devenu ce que je suis à cause d’une blessure que m’a infligé un autre « démon qui a nom confiance » (Montherlant). Comme un vampire je ne suis pas réel et je n’existe pas. Comme un vampire la vie m’a été offerte pour être maudit. Comme un vampire je suis immortel et je porte la mort en moi car c’est mon destin que de l’être.
Il est tout à ft ainormal qu’un être comme moi aberre dans ce monde surtout quand il est choqué par le réalisme contemporain. Il y a près de deux mois d’aujourd’hui, j’ai écris que je puisait ma force dans ma faiblesse et dans ma fragilité. Alors sachez que je suis devenu si fort qu’invincible. Mais, le problème est que cette force m’a changé et m’a métamorphosé. Je ne suis plus ce poète rêveur, amoureux, parfois triste et parfois épanoui. D’ailleurs, mon dernier poème je ne me rappelle plus quand l’ai je mis au monde. Je ne sais même pas si je demeure un être humain qui ressent la peine, la joie, la haine et l’amour. A propos c’est quoi au juste l’amour ? Est-ce ce qu’on ressent envers une personne lorsqu’on la voit ou lorsqu’on voit son corps, sa voiture ou ses biens. Je cherche encore une réponse à cette question car je connais l’effet que peut avoir une personne sur soi et je vois l’effet que donne une voiture par exemple à quelqu’un sur quelqu’un d’autre. Je reviens à là où j’en étais, ma métamorphose m’a rendu quelqu’un d’insensible, sans foi ni repères. Comme un vampire, j’ai perdu mon âme et je vis dans les ténèbres. Comme un vampire je suis un mort vivant. Comme un vampire je suis devenu ce que je suis à cause d’une blessure que m’a infligé un autre « démon qui a nom confiance » (Montherlant). Comme un vampire je ne suis pas réel et je n’existe pas. Comme un vampire la vie m’a été offerte pour être maudit. Comme un vampire je suis immortel et je porte la mort en moi car c’est mon destin que de l’être.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire