J'ai perdu l'inspiration et la force d'écrire, d'extérioriser mes maux et mes peines. Plus de défoulement, plus de musique dans ma tête, plus d'air que je fredonne, plus d'idées folles à exprimer, plus de moi à exposer, plus de toi à chercher, plus de nous à imaginer, plus d'eux à imiter, plus de vous à envier! J'ai écris la dernière fois pour supporter une action pour la liberté d'expression, une expression qui me manque, pas la seule, dois je avouer, ça me manque d'avoir des discussion spéciales avec des personnes distinguées, ça me manque d'avoir une muse qu'on m'envoie comme cadeau du ciel, et les cadeaux, ne sont pas ce dont on me gâte le plus.
Dans cette errance spirituelle j'aimerais vous raconter l'histoire d'un cadeau qui m'étais offert; C'était un jour qui a commencé comme tous les autres. Débauché, je l'ai passé à errer entre les offres d'embauche, les ruelles de la capitale et les sottises de mon esprit. Je reçu une invitation pour changer d'air entre les rayons de produits de consommation, avec ce que j'adore consommer le plus dans mes rêves les plus heureux et mes songes les plus poétiques. Cette course finit par nous guider là où j'épuise mes journées, à rire, à rigoler, à déprimer ... nous entreprîmes une autres évasion vers le rez de chaussée de la monotonie et de la laideur artistique ... Le cadeau me regardait, ces yeux, doux, m'appelaient à le déballer, de le débarrasser de cette enveloppe qui l'étouffait, je me tenais si près, face à lui, que mon souffle pouvait l'effleurer et que le sien me pénètre jusqu'au fin fond de mon être, de mon âme ... j'ai déchiré le papier et je suis resté cloué face à ce présent, le coeur étouffant comme toutes ces larmes que j'étouffe depuis des mois; ce n'était pas mon cadeau, celui de quelqu'un d'autre, je le savais, je ne pouvais défier la destinée comme je le fit avec le destin. J'ai profité des ténèbres pour soupirer en silence ...
Dans cette errance spirituelle j'aimerais vous raconter l'histoire d'un cadeau qui m'étais offert; C'était un jour qui a commencé comme tous les autres. Débauché, je l'ai passé à errer entre les offres d'embauche, les ruelles de la capitale et les sottises de mon esprit. Je reçu une invitation pour changer d'air entre les rayons de produits de consommation, avec ce que j'adore consommer le plus dans mes rêves les plus heureux et mes songes les plus poétiques. Cette course finit par nous guider là où j'épuise mes journées, à rire, à rigoler, à déprimer ... nous entreprîmes une autres évasion vers le rez de chaussée de la monotonie et de la laideur artistique ... Le cadeau me regardait, ces yeux, doux, m'appelaient à le déballer, de le débarrasser de cette enveloppe qui l'étouffait, je me tenais si près, face à lui, que mon souffle pouvait l'effleurer et que le sien me pénètre jusqu'au fin fond de mon être, de mon âme ... j'ai déchiré le papier et je suis resté cloué face à ce présent, le coeur étouffant comme toutes ces larmes que j'étouffe depuis des mois; ce n'était pas mon cadeau, celui de quelqu'un d'autre, je le savais, je ne pouvais défier la destinée comme je le fit avec le destin. J'ai profité des ténèbres pour soupirer en silence ...
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