mardi 20 octobre 2009

Nam sine te vita est quasi mortis imago

Je me cherchais partout, au bout de ton absence
N'est ce que par ton âme, que se justifie mon existence
Je voudrais que, dans tes yeux, se reflète ma lumière
Comme ce beau matin heureux, qui se dessine par tes vers

Je vivais dans l'attente, l'enfer n'est qu'attente
De rimes aussi joyeuses, de rimes aussi souriantes
Patiente, payera t elle? je ne veux cesser d'y croire
J'en suis, maintenant, certain, en pensant à hier soir

Je vais te dire pourquoi
Je vais t'expliquer comment
C'est car tu portes en toi
Le remède des plaies du temps

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