vendredi 4 juillet 2008

Sonate au clair de lune, Vacarme au rayons de soleil

Je me trouve devant mon bureau à écouter un sonate au clair de lune de Beethoven. Une mélodie pleine de mélancolie et de tristesse, si répétitive qu'elle me rappelle la monotonie de la vie et la lassitude qui l'entoure. Un rythme ascendant telle une colère enfuie qui cherche à se dégager à la lumière de jour, mais, qui tourne en dérision tels un monologue interne comme celui qui me perturbe depuis quelques jours. J'aime cet air car on ne peut le fredonner, juste le ressentir, s'évader en l'écoutant, penser, verser une petite larme qu'on essuie du revers de sa manche, avec elle, les peines et la douleur.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Ja'dore la musique classique aussi, je la sens si pure, si profonde, si sincère, Mozart, Cchobert, Bach,... c'est bizzare mais moi ça me transfère sirectement aux ruelles de Mont Martre et du coup je me trouve chez Jaques Brelle et sa bohême :)
eh oui, les larmes coulent avce ces sons, elles dansent sur les joues comme des paroles de ces mélodies et chacun chante donc sa propre chansons avce les mêmes pleurs :)

Ignescence a dit…

wow c'est poétique tout ça :)

Anonyme a dit…

la" bohème" c'est CHARLES AZNAVOUR

Anonyme a dit…

oui t'as raison, c'est bête de ma part :)

Primavera a dit…

Très belle façon de décrire ce morceau musical très bien dit Noomen ;)