Demain,
Ce sera le samedi, le week end, le repos hebdomadaire, le jour où vous vous éclaterez, le jour où j'aurais envie de m'éclater la cervelle à coup de masses, de me foutre une putain de balle dans le globe oculaire, de baiser avec la mort, d'arrêter de me faire enculer par la vie, par ses voix qui résonnent dans ma tête.
Demain,
Vous vous réveillerez tard, au son d'une intonation spéciale de votre téléphone, celle qui fait vibrer votre coeur avec vos tampons. Vous vous doucherez, parfumerez, ... et vous irez à votre rancard. Vous seriez souriant, je n'en aurais pas envie de la journée.
Demain,
Vous vous baladerez main dans la main sur la grande avenue, je me languirez, seul, dans mon canapé. Vous siroterez votre tasse de café devant le sourire qui vous fait rêver, je n'aurais même pas envie d'atténuer ma soif.
Demain,
Vous serez triste en vous quittant, le soir, vous grimacerez dans les arrêt et les gares. Vous vous direz "au revoir" en espérant que ce sera demain. Vous maudirez les bus, les métros et les trains. Je sourirais car il ne restera qu'un jour à endurer, je saluerais le soleil qui se couche, en espérant que je n'aurais plus jamais à le refaire.
Ce sera le samedi, le week end, le repos hebdomadaire, le jour où vous vous éclaterez, le jour où j'aurais envie de m'éclater la cervelle à coup de masses, de me foutre une putain de balle dans le globe oculaire, de baiser avec la mort, d'arrêter de me faire enculer par la vie, par ses voix qui résonnent dans ma tête.
Demain,
Vous vous réveillerez tard, au son d'une intonation spéciale de votre téléphone, celle qui fait vibrer votre coeur avec vos tampons. Vous vous doucherez, parfumerez, ... et vous irez à votre rancard. Vous seriez souriant, je n'en aurais pas envie de la journée.
Demain,
Vous vous baladerez main dans la main sur la grande avenue, je me languirez, seul, dans mon canapé. Vous siroterez votre tasse de café devant le sourire qui vous fait rêver, je n'aurais même pas envie d'atténuer ma soif.
Demain,
Vous serez triste en vous quittant, le soir, vous grimacerez dans les arrêt et les gares. Vous vous direz "au revoir" en espérant que ce sera demain. Vous maudirez les bus, les métros et les trains. Je sourirais car il ne restera qu'un jour à endurer, je saluerais le soleil qui se couche, en espérant que je n'aurais plus jamais à le refaire.
2 commentaires:
quand tu sera seul sur ton canapé, pense à ce que tu n'est pas le seul à souffrir ni le seul à se sentir seul, laissé et trahi. penses qu'il y a, peut être des gents plus touchés par l'arrivée de la journée car elle portera une autre trahison. Quand tu te trouve seul, penses qu'il y a des gens qui souhaitent vivre seuls pour ne plus entendre des blâmes. Quand tu penses à ton malheur, penses aussi qu'il est y a,peut être, des gens encore plus malheureux...
Je suis certain que d'autres sont plus démunis que moi, plus souffrants que moi, plus seul que moi, mais, ça ne veux dire que je n'ai pas le droit de me sentir mal. N'est ce pas?
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