Pourquoi les gens sont tristes lorsque ça ne marche pas entre eux et ceux aux quels ils se sont attachés? Si j'étais psy, je réduirais ça à des secrétions endocrines et je conseillerais les gens de manger plus de chocolat pour éviter ce genre de complication. Mais, aurais je résolu le problème ou répondu à la vraie question? Ce n'est pas le cas! Pour comprendre ce phénomène, il faut analyser la personnalité de l'être humain et son comportement social. Car généralement c'est dans le subconscient des gens que naissent leurs états d'esprit.
"L'homme est un être sociable de nature" a déclaré Ibn Khaldoun (un grand sociologue tunisien) et comme il est connu, dans tout groupe nait la rivalité, la notion du plus fort, le plus intelligent, ...etc. cette rivalité fait naitre chez l'homme l'esprit de défit ; Défier les lois, défier l'autorité, défier la nature, ... qui se traduit par un certain entêtement et qui définira le degrés d'endurance de l'être humain. A chaque fois qu'on se lance dans une aventure, sur une voie, on met à l'épreuve notre endurance et le résultat de nos efforts se transformera en grande joie si on réussit et en déception si l'on échoue. La déception d'avoir gaspillé son énergie pour n'aboutir qu'à la fatigue. On n'aime pas trop, de nature, le gâchis.
Lorsqu'on s'engage dans une relation de couple, que ce soit mariage ou copinage, on s'investit, automatiquement, sentimentalement du moment qu'une certaine attirance s'installe entre les deux personnes. Ces sentiments s'appellent "Amour", "Love", "Mahabba" alors que le mot que j'aime le plus c'est "Echra" (c'est un mot du dialecte tunisien qui veux dire affection qui nait entre des personnes qui se côtoient) ce sont les moteur de la tolérance et de la flexibilité qui naissent entre les deux personnes. On peut, grâce à ce sentiment, accepter des choses qu'on trouvaient inadmissibles, s'engager dans des projets qui nous hantaient et c'est lui qui nous pousse à faire de l'autre beaucoup plus qu'un être, une doctrine et un principe; on devient capable de le défendre avec acharnement lorsqu'on s'attaque à lui où à ses agissements, de le justifier en son absence et on ne peut plus concevoir quelque chose de mal sur lui dans nos propres pensées. C'est travail d'endurance mental et spirituel. On s'accroche tellement à la personne qu'elle devient un but à atteindre, une vérité suprême, ... Et là, Paf! c'est la séparation, la rupture. Généralement, on le vit comme un échec, une trahison, une erreur de jugement qu'on a commise et dont on subit les conséquences. Il y a quelques instants, nous avions un principe et il s'avère qu'il n'était qu'un leurre, on est désorienter, on vit les affres de la solitude et du désarrois et ça nous surplombe. Le monde nous paraît "dépeuplé" et on se sent les plus malheureux du monde. On se rend compte qu'on a gâché une partie de notre vie à s'investir pour la mauvaise personne et que peut être on est passé à côté du vrai bonheur, on culpabilise, un jour, un autre, on rejette la responsabilité sur l'autre, mais, le résultat reste le même et c'est la déprime.
Ayant répondu à cette question, j'entrevois la solution ; tourner la page, ouvrir les yeux, contempler le monde, mettre une croix sur son passé, aller de l'avant et explorer de nouveaux horizons. En effet, on se refoulant sur nous même, on gaspille notre vie pour "rien", pour du "néant". Autant la gaspiller pour d'autres personnes, car il faut se rappeler qu'on en retient une expérience et ça nous évitera de commettre les mêmes erreurs.
"L'homme est un être sociable de nature" a déclaré Ibn Khaldoun (un grand sociologue tunisien) et comme il est connu, dans tout groupe nait la rivalité, la notion du plus fort, le plus intelligent, ...etc. cette rivalité fait naitre chez l'homme l'esprit de défit ; Défier les lois, défier l'autorité, défier la nature, ... qui se traduit par un certain entêtement et qui définira le degrés d'endurance de l'être humain. A chaque fois qu'on se lance dans une aventure, sur une voie, on met à l'épreuve notre endurance et le résultat de nos efforts se transformera en grande joie si on réussit et en déception si l'on échoue. La déception d'avoir gaspillé son énergie pour n'aboutir qu'à la fatigue. On n'aime pas trop, de nature, le gâchis.
Lorsqu'on s'engage dans une relation de couple, que ce soit mariage ou copinage, on s'investit, automatiquement, sentimentalement du moment qu'une certaine attirance s'installe entre les deux personnes. Ces sentiments s'appellent "Amour", "Love", "Mahabba" alors que le mot que j'aime le plus c'est "Echra" (c'est un mot du dialecte tunisien qui veux dire affection qui nait entre des personnes qui se côtoient) ce sont les moteur de la tolérance et de la flexibilité qui naissent entre les deux personnes. On peut, grâce à ce sentiment, accepter des choses qu'on trouvaient inadmissibles, s'engager dans des projets qui nous hantaient et c'est lui qui nous pousse à faire de l'autre beaucoup plus qu'un être, une doctrine et un principe; on devient capable de le défendre avec acharnement lorsqu'on s'attaque à lui où à ses agissements, de le justifier en son absence et on ne peut plus concevoir quelque chose de mal sur lui dans nos propres pensées. C'est travail d'endurance mental et spirituel. On s'accroche tellement à la personne qu'elle devient un but à atteindre, une vérité suprême, ... Et là, Paf! c'est la séparation, la rupture. Généralement, on le vit comme un échec, une trahison, une erreur de jugement qu'on a commise et dont on subit les conséquences. Il y a quelques instants, nous avions un principe et il s'avère qu'il n'était qu'un leurre, on est désorienter, on vit les affres de la solitude et du désarrois et ça nous surplombe. Le monde nous paraît "dépeuplé" et on se sent les plus malheureux du monde. On se rend compte qu'on a gâché une partie de notre vie à s'investir pour la mauvaise personne et que peut être on est passé à côté du vrai bonheur, on culpabilise, un jour, un autre, on rejette la responsabilité sur l'autre, mais, le résultat reste le même et c'est la déprime.
Ayant répondu à cette question, j'entrevois la solution ; tourner la page, ouvrir les yeux, contempler le monde, mettre une croix sur son passé, aller de l'avant et explorer de nouveaux horizons. En effet, on se refoulant sur nous même, on gaspille notre vie pour "rien", pour du "néant". Autant la gaspiller pour d'autres personnes, car il faut se rappeler qu'on en retient une expérience et ça nous évitera de commettre les mêmes erreurs.
6 commentaires:
Commentaire Stérile:
Bah comme je trouve pas de quoi te contredire j'attend que quelqu'un publie un com pour que j'le contredise :P
:D
J'ai piqué un fou rire à cause de toi :D
une bonne leçon je l'avoue.. essayons d'être réaliste comme me l'a conseillé :D
j'ai pas pigé?
euuuh mouch lézem.. ena fhemet rou7i c'est l'essentiel :5obza:
Peut être que j'ai tout compris et que je veux juste te le faire avouer :bahnes:
Enregistrer un commentaire